Les flots immobiles
Callista resta de longues heures à établir l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait immuable, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule lapalissade qui guidait son vies. Les pêche